Dante, pour son rayonnement, sa conception de l'amour et son dolce stil novo léger (c'est, à peu de choses près, l'opposé du romantisme).
Luther, pour sa philosophie de l'existence, les echos que j'y trouve en général (enfin quelqu'un qui rend pieuse "la haine de soi"), son amour du paradoxe qui ne sera pas sans effets sur Kierkegaard.
Kierkegaard, pour des "raisons" qui ne se disent pas.
Difficile de n'en dire que trois.
Rimbaud pour ses mots qui vont loin ou tout du moins qui voient loin ; parce que vie, passion et sentiments sont prioritaires sur les significations.