Libéralisme

Le libéralisme économique, ça vous inspire quoi ?

C'est la défense de la liberté individuelle sur le marché.

C'est en France que l'on voit se développer au début du XVIIIe siècle les contributions les plus importantes à cette doctrine économique. En s'appuyant sur la théorie des droits naturels, des économistes physiocrates comme Pierre de Boisguillebert ou François Quesnay s'opposent au mercantilisme incarné par les successeurs de Colbert et dénoncent l'intervention économique de l'État.

Pour ces auteurs, les individus doivent être laissés libres de poursuivre leur intérêt particulier puisque l'ordre social qui en résulte est le meilleur possible. Il existe en effet des lois naturelles qui permettent de concilier l'intérêt personnel et le bien-être général : ces lois sont celles du marché, régi par les principes de la concurrence pure et parfaite. La formule laissez-faire, laissez-passer, du physiocrate Vincent de Gournay, résume cette première formulation du libéralisme en matière économique.

Ces idées sont reprises par les économistes classiques britanniques de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe : dans la Richesse des nations, publié en 1776, Adam Smith évoque une main invisible du marché qui, grâce aux prix, assure la coordination des intérêts individuels et conduit à un résultat profitable pour tous, sans qu'à aucun moment un acteur quelconque ait eu à sa charge la responsabilité de l'intérêt général. Le marché assure ainsi bien-être et résolution des conflits. Dans ce cadre, l'intervention de l'État doit être réduite au maximum.

Pour Smith, l'État doit être défini comme un État gendarme, un État minimal, qui a pour seule fonction de veiller au respect des conditions de concurrence pure et parfaite, de permettre l'exercice de la liberté individuelle et, le cas échéant, de pallier les rares défaillances du marché. Au XIXe siècle, David Ricardo, Malthus, John Stuart Mill, en Grande-Bretagne, Jean-Baptiste Say, en France, prolongent la réflexion d'Adam Smith et font des années 1820-1914 l'âge d'or du libéralisme économique.

La conciliation du libéralisme politique et du libéralisme économique peut paraître problématique dès lors que l'on se réfère à l'application des principes : un État mettant en œuvre une politique économique dite libérale peut parfaitement, en effet, le faire dans le cadre d'un système qui ne satisfait pas aux principes du libéralisme politique. Néanmoins, cette conciliation n'est pas contestable du point de vue des principes, qui postulent que ce ne sont pas les rapports économiques qui organisent les rapports politiques, mais bien les fondements du libéralisme qui, transposés dans une autre sphère (le marché, libre lieu de confrontations et d'échanges, n'étant que la traduction de l'indétermination et du choix des individus), manifestent l'aspiration universelle à la liberté.

Je ne sais pas trop qu'en penser vraiment ....
.... dans la lettre ça a l'air bien, mais dans la réalité, c'est devenu du chacun pour soi .... peut-être à cause de la mondialisation ?

Le libéralisme c'est un bon truc pour taquiner les gauchistes.

Mais c'est comme tout : ca doit être utilisé avec modération.

Le libéralisme m'inquiète pourtant moins que l'islamisation, et même sans modération.

L'égoïsme de chacun conduit à un équilibre qui satisfait chacun, mais seuls ceux qui sont là peuvent manifester leur intérêt, ceux qui ne sont pas encore nés ne sont pas pris en compte, ils vont se trouver sur une planète où les ressources seront plus chères et où la qualité de vie sera très basse.
De plus, ce système creuse le fossé des inégalités. On n'est pas vu comme une personne mais un moyen de faire de l'argent, on n'est plus qu'une demande qu'on manipule pour être la plus grande. Un produit n'est plus fait pour satisfaire mais pour être le moins cher à la production, sembler le meilleur.
Bref, chuis totalement contre, mais je veux pas non plus pencher de l'autre coté en retirant sa liberté à chacun. Comme pour tout, il faut trouver un juste milieu.

Un produit est là pour rapporter de l'argent avant tout. Il sera donc mis sur le marché avec grand battage publicitaire pour paraître le meilleur, mais surtout afin de devenir indispensable. C'est ainsi que les désirs deviennent des besoins.
A chacun de savoir résister du mieux qu'il peut .... et s'il succombe aux annonces alléchantes, qu'il le fasse en toute connaissance de cause.
Mais le libéralisme, malheureusement, se déploie dans tous les sens, surtout dans celui du mensonge et de la tromperie ...... pour l'économie, c'est de bonne guerre. Pas vu, pas pris .....

Le libéralisme c'est simplement suivre les lois de la nature.
Dans la nature les êtres intéragissent sans qu'aucun gouvernement n'essaie d'intervenir pour réguler artificiellement les choses. Ce qui fait que les plus forts se répendent alors que les plus faibles disparaissent. la nature n'est donc pas égalitaire.
Cependant dans la nature on connait aussi des êtres qui, au lieu de vivre en compétition, on choisit de vivre en coopération : les êtres sociaux (termites, fourmis, abeilles, humains, etc...) et ca leurs a plutôt bien réussi.

En l'opposé du libéralisme, dans cette organisation qui soit-disant défend la veuve et l'orphelin, il y a les gauchistes ces parasites de la société dont le motus operandi est «prendre aux riches pour donner aux pauvres».

Remarquez, il ne viendrait pas à l'idée des gauchistes qu'ils pourraient eux-mêmes filer du pognon aux pauvres, du haut de leur appart dans le 16ème, au volant de leur Austin mini, vêtus par GAP, et adeptes du macro-biotique, shootés à l'Evian.

En ce moment ce n'est pas le libéralisme qui m'inquiète. C'est plutôt tout le crédit et toute l'importance que l'on accorde à n'importe quel parvenu de la gauche, parce qu'il est à gauche il fait partie des gentils. Parce qu'être à droite, c'est pas cool, mec.

"Choisir entre la droite et la gauche, c'est comme choisir entre la peste et le choléra": citation de je ne sais plus trop qui. De toute façon, les polititiens, ce sont tous des pourris!
A choisir entre les deux, je préfère un peu plus la gauche pour le long terme! Et puis je trouve ça dégueulasse que des gens naissent avec moins de chances que d'autres et qu'on les laisse dans leur merde et dans celle des plus riches.
C'est pas la gauche qui est pourrie, c'est les politiciens!

«Modus operandi».

Hahahahahhahah ! Je serais d'accord avec toi Pizza, je ne fais AUCUNE confiance aux gauchistes.

Cependant, ce qui me fait m'exclamer de rire, c'est juste la tournure de ta phrase :

...En l'opposé du libéralisme, dans cette organisation qui soit-disant défend la veuve et l'orphelin, il y a les gauchistes ces parasites de la société dont le motus operandi est «prendre aux riches pour donner aux pauvres»...

Relis bien et dit moi que je me trompe dans la lecture, car elle vient de me rappeler une "histoire" de Coluche :
Dans le Liberalisme, l'Homme est un Loup pour l'Homme. Dans le Communisme c'est le contraire !

Je lis donc ta phrase de la façon suivante :

... il y a les gauchistes....."prendre aux riches pour donner aux pauvres. En l'opposé du Libéralisme !

Sous-entendrais tu, qu'en opposé ( donc à forciori le contraire), le Libéralisme prendrait aux pauvres pour donner aux riches ?

Tu fais fort là !
--34

Je voulais dire «À» «l'oppposé du libéralisme, il y a les gauchistes dont le modus operandi est de prendre aux riches pour donner aux pauvres». Et non «En» l'opposé du libéralisme.

Tu crois que tu te remettras de tant d'émotions ?

Désolé, mal lu.

Donc :

.......il y a les gauchistes.....dont le motus operandi est «prendre aux riches pour donner aux pauvres»....
......«À» «l'oppposé du libéralisme......

--9

Bon, et alors ?