Dette ?...!!!!

Voilà, je ne cherche pas à entamer une polémique ou un débat.

Je voudrais, juste pour mon « information », une réponse.

Les Européens ont été pendant une grande période, des peuples Conquérants…Colonisateurs.

Concernant spécifiquement la France, où je suis un citoyen immigré, j’ai ouie dire dernièrement, que, et ce provenant d’un originaire Algérien, que notre pays donc, avait une dette à payer envers les gens de ce pays ( l'Algérie), qui fut une Colonie Française près d’un siècle et demi.

En dehors du respect du à chaque être humain, de la reconnaissance des droits (et l’obligation de devoirs) s’ils sont citoyens Français, et des droits s’ils ne sont que résidants…

Quelle est la nature de la dette ?

..

En fait il est possible que ce soit le contraire.
Car certaines colonies francaises ont obtenu l'autorisation de devenir indépendantes en échange d'une grosse somme d'argent à payer pendant plusieurs années.



Cela dit ... nous devrions avoir une grosse dette envers les inventeurs du couscous.

Je suis un adepte du jeûne pour la paix mais je trouve qu’il ne suffit pas de jeûner quand le monde est en crise, il faut aussi savoir fêter la paix quand elle est revenue. Il y a une fête de la musique, pourquoi n’y aurait-il pas une fête de la paix ? Il y a des apéros géants, pourquoi n’y aurait-il pas des pique-niques géants ce jour-là ? Pour les franciliens, l’aéroport du Bourget ou le parc de la Courneuve sont-ils assez grand ? Est-il préférable de fixer la date au 1er janvier, journée mondiale de la paix, ou au 8 mai, anniversaire de la fin de la deuxième guerre mondiale ? Je serai content d’avoir l’avis des internautes. plf

Pendant que certains fêtent la paix, d'autres travaillent à préparer la guerre.

Au lieu de fêter la paix, travaillons à nous opposer aux futures guerres, travaillons à préparer la paix.

Ma question n’était pas tellement de commenter le « si vis pacem para bellum » mais plutôt de savoir comment éviter que la crise économique actuelle nous conduise à une guerre comme en 1929 ? J’ai étudié cette semaine, le problème de la solvabilité des monnaies, particulièrement le dollar et l’euro. J’ai lu que les accords de Bretton Woods stipulaient que toutes les monnaies étaient convertibles en dollar qui était la seule convertible en or. Cela m’a donné des idées.

Serait-il possible d’instituer un système similaire non pas mondial mais continental ? Il y aurait une seule monnaie par continent qui serait convertible en or. Par exemple, dans le continent sud-américain seule la monnaie brésilienne serait convertible en or. Autre exemple, si la monnaie grecque quitte l’euro, qu’elle soit convertible uniquement en euro mais à un taux variable selon l’évolution de leur situation. Ainsi leur devise ne serait plus l’euro, mais ils ne quittent pas la zone euro. Pareil pour la Suisse dont le franc deviendrait à terme uniquement convertible en euro, lui-même convertible en or. Ce serait une transition vers la fin du secret bancaire.

Pour faciliter les échanges, il est possible d’imaginer encore que les monnaies principales soient convertibles entre elles : l’euro en dollar, etc. Par contre, une monnaie nationale ne pourrait plus être convertie en une monnaie d’un autre continent. Ainsi, si je suis uruguayen, je peux changer mon argent contre des devises chiliennes mais pas contre des roubles ou des yens. Par contre, si je veux acheter de l’or ou des dollars, je dois d’abord changer ma monnaie nationale contre des devises brésiliennes. Et si je vais dans un autre continent, je pourrais partout payer avec la monnaie principale de ce continent.

Il y aurait donc pour chaque continent une ou au maximum deux monnaies principales. Ces monnaies principales seraient convertibles en or et convertibles entre elles. Les monnaies secondaires seraient convertibles uniquement avec les autres monnaies du même continent et ne seraient pas convertibles en or. Ainsi, toutes les monnaies sont indexées sur l’or, soit directement, soit par l’intermédiaire d’une monnaie principale. Les monnaies principales que je vois : Etat-Unis, Brésil, Europe, Afrique du Sud, Arabie Saoudite, Russie, Japon, Chine, Inde et Australie. Si des monnaies doivent perdre ou acquérir le statut de monnaie principale, ce sera au parlement continental de l’approuver sur proposition du conseil intercontinental.

plf a écrit:

J’ai lu que les accords de Bretton Woods stipulaient que toutes les monnaies étaient convertibles en dollar qui était la seule convertible en or.

En1971 les USA ont décidé unilatéralement que le Dollar ne serait plus convertible en or.

Citation :

Serait-il possible d’instituer un système similaire non pas mondial mais continental ? Il y aurait une seule monnaie par continent qui serait convertible en or.

N'est-ce pas un peu ce que l'on cherche à faire avec l'Euro ?
Mais en ce qui concerne la convertibilité en or, est-ce encore possible ? L'argent et devenu tellement virtuel que ce serait difficile de le rattacher à nouveau à une chose matérielle. D'ailleurs existe-t-il assez d'or dans le monde pour correspondre à tout l'argent actuellement en circulation ?

remarques judicieuses.

et ma question sur la Grèce ?

Autre exemple, si la monnaie grecque quitte l’euro, qu’elle soit convertible uniquement en euro mais à un taux variable selon l’évolution de leur situation. Ainsi leur devise ne serait plus l’euro, mais ils ne quittent pas la zone euro.

Est-ce que ca empécherait leur monnaie de ne valoir pratiquement rien ?

Je réfléchissais ce matin au problème de la dette des états européens et du refinancement des banques européennes. Les banques suisses ne sont-elles pas les principales responsables de cette crise ?

En effet, si elles avaient un fonctionnement normal, l’argent qu’elles collectent à l’étranger serait imposable et donc le problème de la dette des autres états n’existerait pas ! De plus, si elles fonctionnaient comme les autres banques, les épargnants mettraient leur argent dans leurs banques nationales. Le problème du refinancement des banques européennes n’existerait pas non plus !

Les banquiers suisses sont donc des voleurs à un double titre : depuis des décennies, ils volent les états voisins et les banques des voisins. Qui peut obliger les banques suisses à avoir un fonctionnement honnête ? Je pense de plus en plus qu’il manque une gouvernance mondiale.

La dette c'est de l'argent que nous devons aux banques suisses ????

Ca n'a rien à voir avec les banques suisses : ce sont TOUTES les banques qui ne fonctionnent pas d'une manière véritablement honnète.
En fait c'est le système bancaire qui est aberrant.

Je suis déçu de n'avoir pas été compris !
Me suis-je mal expliqué ?
Je n'ai pas voulu dire que nous devons de l'argent aux banques suisses.
J'ai voulu dire que si le secret bancaire n'existait pas,
il y aurait beaucoup moins de problèmes.

Les banques suisses ne sont en effets pas plus malhonnêtes que les autres.

C'est le concept de secret bancaire qui met les boules aux états — et à leurs citoyens— en mal d'argent.

Selon Wikipédia:

Citation :

En Suisse, le secret bancaire est réglé par l'article 47 de la Loi fédérale sur les banques et les caisses d'épargne [1]. Cet article, entré en vigueur le 8 novembre 1934 et révisé depuis, prévoit l'emprisonnement pour trois ans au plus en cas violation volontaire du secret bancaire et d'une amende de 250'000 CHF au plus si la violation du secret bancaire a été commise par négligence.
Les exceptions au secret sont beaucoup plus rares qu'en France. En fait, seule la justice peut obtenir la levée du secret bancaire dans le cadre d'une procédure pénale. L'administration ne possède pas de droit d'accès aux informations détenues par les banques, à l'exception toutefois de la FINMA, l'autorité fédérale de surveillance des marchés financiers, chargée de la surveillance du système bancaire.
En cas de fraude ou d'escroquerie fiscale, la Suisse peut échanger des informations avec les autres pays par deux voies distinctes.
D'un côté, les informations peuvent être échangées entre autorités fiscales, comme le prévoient certaines conventions bilatérales en vue d'éviter la double imposition (CDI), par voie d'assistance administrative. C'est notamment le cas, depuis de nombreuses années, entre la Suisse et les États-Unis et, depuis peu, entre la Suisse et d'autres États, en particulier des pays de l'UE.
De l'autre, les informations peuvent être échangées entre autorités judiciaires en vertu de la loi fédérale sur l'entraide internationale en matière pénale (entraide judiciaire).
" Si toutes les options sont validées, les deux procédures peuvent aboutir à la levée du secret " 1,2.
Les comptes anonymes n'existent plus en Suisse depuis 1991 et il est donc théoriquement possible de retrouver les propriétaires d'un compte en cas de levée du secret bancaire. Cependant, certaines opérations peuvent encore être réalisées par un intermédiaire financier (lui-même soumis au secret professionnel) sans que celui-ci ne doive dévoiler l'identité de son client.
Le secret bancaire suisse prend une forme proche de celle en vigueur actuellement avec la loi bancaire de 1934 qui consacre une tradition et étend son champ d'application aux étrangers. Deux motivations conduisent à cette extension aux étrangers, l'espionnage des nazis et les pressions de la gauche française3 :
Hitler promulgue dans les années 1930 une loi qui rend la détention de capitaux hors d'Allemagne passible de la peine de mort. Plusieurs allemands sont exécutés pour avoir possédé des comptes en Suisse.
en 1932, un scandale éclate en France et révèle que 1500 à 2000 personnalités (hommes politiques, magistrats, etc.) possèdent illégalement des comptes en Suisse.
Dans les deux cas (et sans qu'on puisse rapprocher les risques pour les personnes concernées), il s'agit de protéger les ressortissants d'un pays étranger, mais aussi de maintenir l'attractivité de la place financière suisse.
Le secret bancaire suisse apparaît donc comme plus strict que sa version française.

(C'est moi qui met en gras et en plus grande écriture)





Pauvre Suisse, restée relativement riche au milieu d'une Europe qui saigne son fric de partout! .....

Comment faire comprendre à l'Européen lambda que si la Suisse est restée compétitive, financièrement parlant, c'est parce qu'il y a des décennies qu'elle a su assainir ses finances, freiner ses dépenses et demander des efforts à toutes les couches de la population et à la collectivité.
Y en a-t-il beaucoup qui savent que l'aide sociale accordée à un citoyen suisse (ou étranger d'ailleurs) st remboursable lorsque la personne revient à meilleur fortune, par exemple ?

Je ne vois pas quel rapport on pourrait faire entre la dette publique des états et le secret bancaire.

Il faut bien un bouc émissaire ......

Concernant ton idée de monnaies continentales, c'est presque impossible sans une fédération de ces états, car chacun, en fonction de son marché intérieur et de ses exportation à besoin d'un monnaie plutôt forte ou plutôt faible (par rapport au dollars, référentiel actuel).

Cette monnaie continentale ne pourrait être convertible en or pour la simple et bonne raison qu'il n'y a pas assez d'or sur Terre. En effet depuis quelques siècles et cela va en s’aggravant, une banque peu effectuer des prets sur une valeur fractionnelle de son capital. Par exemple un banque possédant un capital de 1000 euros peu preter 9 fois cette somme (même si elle ne l'as pas, je sais c'est idiot mais toute l'économie moderne est stupide) dans la plupart des pays du monde, et dans certains pays, ce ratio atteint 1/36 (1 dollars réel pour 36 fictifs).

Enfin, toutes les monnaies sont déjà convertibles entre elles.

Et pour règler certains problèmes des dettes nationales et de la crise financière et économique (du moins essayer), on pourrait commencer par poser certaines question:

- pourquoi les etats empruntent t ils a des banques commerciales ou lieu de produire leur propre argent (pour ceux qui répondraient pour des raison d’inflation, vaut il mieux élire un gouvernement sur ca capacité a gérer l'inflation ou conserver un gouvernement qui n'ayant pas les pouvoirs d’émettre sa propre monnaie ne possède donc aucun pouvoir réel?)

- pourquoi ne pas limiter les parts des bénéfices redistribuées aux actionnaires?