La plume qui ne se différencie pas du délire mais qui, au contraire, est absorbée et assimilée par lui, la plume qui ne témoigne pas en faveur d'une tension, pour un esprit plus clair, la plume qui n'en n'est plus une mais qui est tout entière délire, la plume qui est un doigt, celle-ci seule est véritablement délirante et traduit le vrai délire.