de Benoît XVI : ( cité par Cébé)
- Citation :
- Le progrès vers le mieux, vers le monde définitivement bon, ne provient pas simplement de la science, mais de la politique – d'une politique pensée scientifiquement, qui sait reconnaître la structure de l'histoire et de la société, et qui indique ainsi la voie vers la révolution, vers le changement de toutes les choses.
Mais oui !
On peut constater que le siècle passé n'a pas su penser scientifiquement, au point de prévoir mieux le changement de toutes choses.
Beaucoup d'éléments de connaissances ont manqué aux communismes concernant la nature humaine, le développement en quelques directions et les conséquences apportées.
Les soviets et l'electricité n'ont pas suffit.
Depuis, la psychologie, la biologie, l'informatique et les autoroutes de l'information, et une foule d'autres éléments sont apparus qui peuvent nuire ou aider.
Nous sommes tous solidaires, que nous le voulions ou non, et les initiatives individuelles ne peuvent suffire à faire une cohérence sociale. La solidarité est d'abord dans l'organisation politique du monde, dans les lois élaborées...
Gouverner c'est prévoir : jamais les outils pour cela n'ont été aussi performants. Nous pourrions maîtriser bien des désordres.
Le mal ( notre pays de France en est une parfaite illustration) n'est pas que des savants ne puissent penser une meilleure civilsation, le mal est que les décideurs n'ont qu'une science efficace : savoir ce qui avec l'aide des journalistes, avec l'aval des banquiers, les conduira vers la bonne paie et les voitures de fonction...Tout pour les élections, c'est leur lutte finale !
Les banquiers, les ministres, les présidents divers sont indispensables. Ils leur faut des compétences, de la science et du savoir faire, mais ils osnt au service du monde et non au sommet pour se servir du monde.
Tout est une histoire d'organisation mais aussi de responsabilités. Chaque individu, si humble soit-il est responsable de ce qui lui arrive. Pas de bien être sans lucidité et responsabilité de chacun. Et chaque dirigeant devrait être également responsable et punissable devant ceux qui l'ont élu et aussi devant des instances internationnales élues par les plus humbles.
Il y a de quoi réfléchir... bien après Marx, les goulags et autres Irak et Guantanamo.