scientifiquement des univers infinies ne sont pas impossible , scientifiquement j'entends.
Il faut savoir differencier infinie et limité , il est d'usage de dire que notre univers est infinie mais limité , à la même maniére que un cercle est infinie ( il ne posséde ni début ni fin ) mais est néanmoin limité ( on peut le parcourire entiérement en un temps finis ) .
Concernant la non-limite de l'univers c'est a dire le caractére infinie de par la masse et de par la taille , la physique rejoint completement ce point de vue , car l'univers étant "presque" homogéne initialement ( ie au instant suivant le big bang) il contient donc une quantité finie d'atome et donc de réplic possible de nous même dans les éxacte conditions.
Il faut également discuté de la pertinance d'imaginer un univers infinie dans l'espace et non dans le temps. La vitesse de déplacement de l'information étant borné par celle de la lumière notre champs d'action de recueil d'information se situe éxactement dans un rayon de 13.7 milliards d'année lumiére ( ie l'age de l'univers fois la vitesse de la lumiére ).
Notre univers sondable/observable/atteignable est de toute maniére borné par cette limite. L'imagintion humaine étant elle non borné par ce genre de limite , on peut s'amuser a imaginer l'au dela qu'il existe ou non néanmoin si l'on désire rester dans le cadre scientifique certains articles soulignent le caractére interressant d'un univers fermé, c'est a dire d'un univers duquel on ne peux sortir quoiqu'il arrive. A l'image d'une sphére , si on marche toujours tous droit dans un univers fermé on retombe sur ses pates.
Il est également amusant de se demander si le tems est également finis a l'image de l'univers. Certaines théories une fois encore divergent sur ce point de vue. La tendance actuelle ( et je précise ce n'est qu'une tendance) considére le temps comme "naissant" en même temps que les dimensions spatiales lors du bigbang , et s'écoulerais a l'infinie a l'image d'un ségment de droite. Des théories de la décenie précedante visualise l'univers comme une boucle éternelle de Big Bang et de Big Crunch. Le temps serait alors une ligne droite sans début ni fins et les mis a part les questions des inhomogeneité primordiale on peut se demander si dans le cadre d'une telle théorie l'être est également une boucle condamné , à l'image du determinisme spinozien, a recreer les mêmes erreurs.
En espérants avoir été intelligible , je m'excuse des fautes.