Ce que vous en pensez

Quand l'amour nous éloigne de ce qui devrait nous rapprocher, dans un monde où le paraitre est synonyme d’être, où l'égo est déifié puis glorifié et l'amour de soi une loi, j’écris avec la plume qui assassine, qui assassine celui qui l'a tient après lui avoir enseigné ce qu'il ne savait pas.




Voila que pensez vous de la phrase avant.
je voudrais un avis sur le forme (je pense être dans la bonne section) et le fond (la section philosophie aurait peut être été plus adéquat).

"j'écris avec la plume qui assassine, qui assassine celui ...." qui l'a tenue ou qui la tient (la plume ?)
Admettons que ce soit "la plume" ...

... C'est un chouia triturage des méninges, cette phrase.

Trop d'informations dans trop de mots. Une formule doit être plus percutante, en peu de mots.

Voilà pour la forme.


Pour le fond : ce n'est pas l'autocritique qui tue, mais l'arrogance ....


J'aimerais assez un développement car le fond est intéressant!

Celui qui la tient (désolé pour la faute) c'est celui qui écris avec, en fait c'est un peu "tordue" je sais faut la relire plusieurs peut être pour comprendre cela.


Ensuite je ne pense pas qu'il y a trop d'information dans trop de mot, je la trouve presque parfaite personnellement ^^.


pour le fond : Le "je" s'implique dans "ce monde dans lequel paraitre est synonyme d’être,...". Du coup il est bien arrogant et fait bien une autocritique mais une sorte d'autocritique fatal.

Le "je" a su qu'il était narcissique, le fait de le savoir l'a tué, ça ne voudrai je pense pas dire que le "je" est "méchant" mais au contraire il en mort prouvant le contraire.

LOL je divague.... Je sais qu'il y a des chose a creuser la dedans mais pas le temps ni les connaissances pour....

Tout ca n'est pas clair.

C'est bien l'Ego qui est assassiné ?

Comme Atil, je pense que ce n'est pas clair.

À mon sens, "J'écris avec..." est une nouvelle phrase.

Sa relation avec la 1ère partie de ta phrase n'est pas claire.

Et question de forme, ta phrase est trop longue. Nous ne sommes plus aux temps où les phrases longues rendent compte d'une maîtrise de la langue. Jadis, on disait "comme le bon mathématicien qui peut se passer de certaines panranthèses sans lesquelles un non-expert serait perdu, le bon écrivain peut se passer de certains signes de ponctuation...". Ce n'est plus le cas aujourd'hui.

Ca semble signifier que nous régressons intellectuellement : notre cerveau n'a plus la force pour se concentrer sur des phrases longues.

Atil a écrit:

Ca semble signifier que nous régressons intellectuellement : notre cerveau n'a plus la force pour se concentrer sur des phrases longues.

Version optimiste : les signes de ponctuation n'ont plus le même sens aujourd'hui.

Mais ça ne répond pas aux questions de mstafa.